Un récit épique, mais ouvert à toutes les histoires.

 

Ce récit ( Lactavia ) peut se lire comme un récit historique non romancé. Il offre un large cadre destiné à recevoir des "tiroirs" suffisamment vastes pour des centaines, des milliers, de récits romancés. La trame de ce dernier repose d'abord sur deux postulats: La colonisation de l'espace est devenue une réalité, non par curiosité scientifique ( appuyée sur des arguments du style "c'est la nature de l'homme" ), mais pour des finalités économiques. Ensuite, la galaxie, progressivement colonisée sur 20 000 ans, est du type "tout humaine", pas de petits hommes verts à tentacules. Il y a de la vie, certes, non apportée par l'homme et donc bien E.T., mais pas d'espèce intelligente et développée équivalente ( parceque sur le plan des statistiques et de l'histoire à l'échelle astronomique ça ne marche pas. ). En revanche, l'homme s'est adapté à des milieux naturels forts différents ( et non le contraire, cqfd ) et donc à "muté" naturellement sur le long terme ou artificiellement sur une ou deux générations. La famille humaine comprend des êtres aussi surprenants que les ungravids ou les delfiniens, ou encore les grinniens natifs... Qu'on considère à juste titre comme des êtres "à peine humanoïdes".

Au cours de ces 20 000 ans, il y a une foultitude de récits possibles qui s'intercalent: Des civilisations non référencées, bien qu'humaines d'origine, des civilisations Doms, très nombreuses ( voir "doms" pour le cadre ), des récits des civilisations "néoprims", puis post-néo-primitives ( à partir des années 8500-9000 dans la bordure externe du bras d'orion ), et les mêmes arrivant à la capacité de se lancer à leur tour à la conquête de l'espace, qui rencontrent d'autres civilisations du même ordre, Doms ou non, et toutes les civilisations ex-expantionnistes qui sont "restées au bercail" et ont trouvé de nouvelles solutions "économiques" pour vivre bien sans forcément se développer ( une idée à creuser... ), et enfin, la foultitude d'univers virtuels et de leurs possibilités infinies, sans parler de leurs interactions avec les vivants...

Bref, il y a de quoi faire...

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