Daggerem-Kamran
Explorée pour la première fois par des colons Noochains, la planète Kamran abrite l'un des plus fameux joyaux de l'architecture religieuse. Le très pieux peuple de kamran fit un accueil réservé aux colons néo-boufddhistes de la seconde vague, Nusinienne, de colons, quelques 1200 ans plus tard. Des communautés s'établirent au Nord, terres parcourues par le fleuve Olthya, dont les lacets se déroulent dans une vaste plaine forestière, faite de conifères. Les liens étroits s'établirent entre les deux communautés au cours des siècles, les Nusiniens apportant aux Kamraniens leur technologie et ces derniers le sens de l'esthétique grandiose qu'ils partagent avec les Jaurasiens. e fréquents contacs aboutirent plus tard à l'édification au sud du fleuve d'argent la cité de daggerem, littéralement "née du fleuve d'argent", d'abord petites bourgade d'échanges commerciaux, puis avec le temps, vaste cité resplendissante et fierté des Kamraniens. 700 ans plus terd, elle était la ville aux douze tours d'ivoire, capitale métissée du Nord. La vieille ville s'étale sur les rives du fleuve, en bordure de la fôret, ce qui donne déjà à cette cité une allure peu commune. Les tours immenses qui se dressent derrière sont d'un blanc éclatant du fait de la contribution de chaque voyageur de passage dans la cité à verser une obole symbolique, en l'occurence une pièce d'ivoire qui sera ajoutée à la gigantesque mosaïque.
Ces tours sont largement inspirées des batisses des prêtres-seigneurs de Nomachady, autre cité religieuse du sud, en 400-1300 du calendrier local. Dessrvies par des nacelles à sustentation qui courent sur ses flancs garnis de buses de champs de forces, ces tours abrirent la population de daggerem lors des crues centenniales, tous les 156 ans standard, lors d'une conjonction planétaire exceptionelle.
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